Mes grands-parents Leopoldina Goyheneix
et Gastão Gonsalves Braga
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La photo ci-jointe a été le début d’un moment
unique où j’ai senti que je devrais rechercher les miennes origines. Quand ma soeur me l’a montré, tout à coup une émotion trop forte m’a
envahi. Je
m’en sentis impliqué. Malheureusement, je n’ai pas eu de chance de rencontrer
ma grand-mère appelée Leopoldina, issue du mariage du Salvador Goyheneix et
Maria Antonia Teixeira, car elle est décédée trop tôt, à l’âge de 36 ans. Par
contre, j’ai eu la chance de connaître mon grand-père aux cheveux blancs, fils
de descendants portuguais, lequel était une personne remarquable. Je me souviens
que tous les ans, à l’occasion de mon anniversaire, il faisait sortir mon nom dans
le journal « Diário Popular de
Pelotas », dans la colonne des
anniversaires, une façon différente de me rendre hommage. Souvent, il se rendait
à la ville du Rio Grande, où j’y demeurais, pour me faire un câlin. Il me
manque et je me souviens beaucoup de lui.
Mon père me disait
toujours que ma grand-mère était descendante de français, mais la conversation
n’allait pas si loin. Peut-être, à cause de mon âge, je ne m’intéressais pas à
maintenir une conversation sur ce sujet. Mais j’ai grandi avec cette idée et le
fait d’étudier la langue française me faisait du plaisir et j’étais doué pour
l’apprendre. Mon père me disait que c’était « le sang français de mes ancêtres dans mes
veines.” Je vous avoue que cela m’a spécialement marqué. Aujourd’hui, malgré le
Français ne soit pas ma langue maternelle, j’y arrive à le maîtriser, soit à la
forme écrite, soit à la forme orale. Probablement, qui sait, par la génétique ?
Mes aïeux étaient charpentiers et menuisiers. D’ailleurs, c’étaient des
familles consacrées à ces métiers.
Meus avós Leopoldina Goyheneix
e Gastão Gonsalves Braga
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Meu pai falava sempre
que nossa avó era descendente de franceses, mas não ia muito longe a conversa.
Assim cresci com esta ideia e gostava muito de falar francês e tinha grande
facilidade para aprendê-la. Me pai dizia que era o sangue francês de meus
antepassados que corria nas minhas veias. Hoje, embora não seja minha língua
materna, consigo dominá-la muito bem, tanto na forma escrita como oral.
Provavelmente, quem sabe, pela genética? Falando em genética, meus antepassados
eram carpinteiros, marceneiros, aliás uma família dedicada a estas profissões.
Eu gosto muito de lidar com isto, também.
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